Après ces digressions un peu futiles, revenons-en au canard (avec étude sociologique de terrain). Ou plutôt au lapin.
Rappel :
Le canard a ceci de différenciant avec le lapin, outre le fait que le terme «canard» désigne un très grand nombre d’espèces d’oiseaux ansériformes, qu’il appartient à la famille des Anatidés : les canards proprement dits constituent le genre Anas, qui sont des canards de surface, c’est-à-dire qu’ils ne s’immergent pas ; ils se contentent de barboter, c’est-à-dire qu’ils basculent l’avant-train dans l’eau.
En comparaison, le lapin, mammifère lagomorphe, possède par rapport au lièvre la caractéristique d’être doté d’oreilles, qui, repliées vers l’avant, ne dépassent pas l’extrémité du museau (visualiser). Par rapport au canard, on peut observer, en guise de remarque prélimimaire, qu’ils se tournent mutuellement (?) le dos.
Déduire de cette première observation que lapin et canard sont antagonistes est une aberration scientifique.